par Dans une démarche visant à simplifier le quotidien des étudiants, enseignants et administrateurs, le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, M. Kamel Baddari, a officiellement lancé cette semaine cinq nouvelles plateformes numériques. Conçues par des compétences nationales, ces plateformes renforcent l’infrastructure digitale du secteur, portant le total à 69 outils interconnectés. Elles visent à fluidifier les procédures, améliorer l’accès aux services, renforcer la transparence et faire un pas de plus vers une « université intelligente » axée sur l’innovation et la performance.
Quelle belle avancée pour nos universités en Algérie ! On a appris mardi que le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, M. Kamel Baddari, a donné le coup d’envoi officiel à quelque chose de très concret pour améliorer le quotidien de tous : le lancement de cinq toutes nouvelles plateformes numériques.
Imaginez ces plateformes comme de nouveaux outils digitaux puissants qui viennent s’ajouter à la « boîte à outils » numérique de l’enseignement supérieur. Le ministre l’a confirmé, ces cinq nouveautés font grimper le total à 69 plateformes interconnectées, formant un grand réseau intégré, un peu comme le système nerveux digital de tout le secteur universitaire.
Le point fort, et c’est vraiment encourageant, c’est que ces plateformes ont été conçues et développées par des talents algériens ! Elles s’inscrivent dans le grand projet de modernisation de nos universités. Mais concrètement, à quoi servent-elles ?
M. Badarri a expliqué que l’objectif principal de ces plateformes numériques est de nous simplifier la vie en rendant les démarches administratives et pédagogiques beaucoup plus simples (finies les lourdeurs et la paperasse, place à des processus fluides !), en facilitant grandement l’accès en ligne aux services proposés par les universités (pour s’inscrire, demander un document, ou accéder à des ressources, tout devient accessible à distance !), en garantissant une transparence accrue dans toutes les opérations pour plus d’équité, et en renforçant la gouvernance électronique afin de mieux gérer et piloter l’ensemble du secteur grâce à ces outils numériques modernes.
En clair, le but ultime est de transformer nos établissements universitaires en une véritable « université intelligente » – un lieu où le numérique est au service de l’efficacité, de l’accès et de l’innovation. Selon le ministre, ces initiatives placent clairement le secteur en position de leader en matière de numérisation et accélèrent la transformation de l’université algérienne pour qu’elle soit plus tournée vers l’innovation et la performance.
Lors de cette même cérémonie, on a eu un aperçu plus détaillé de certaines de ces plateformes.
La plateforme des textes réglementaires : Présentée par M. Ahmed Belhani (qui s’occupe de l’enseignement à distance), celle-ci est super pratique ! Elle permet d’accéder et de consulter facilement tous les documents officiels et textes de loi émis par le ministère de l’Enseignement supérieur. C’est comme avoir une bibliothèque juridique du ministère toujours à portée de clic.
La plateforme d’évaluation des cours en ligne : Très importante pour s’adapter aux modes d’apprentissage actuels. Avec le développement de l’enseignement à distance ou hybride, il fallait de bons outils pour évaluer les cours donnés en ligne. Cette plateforme apporte des techniques et des outils innovants pour rendre cette évaluation plus efficace et accompagner la transition vers le digital.
La plateforme « Hadhina » : Son nom est évocateur (« Hadhina » signifie « incubateur » ou « pouponnière » en arabe). Cette plateforme est dédiée à la gestion des incubateurs universitaires. Ce sont ces structures qui aident les étudiants et les chercheurs à transformer leurs idées de projets ou de start-up en réalité. « Hadhina » va unifier la manière dont ces incubateurs fonctionnent, faciliter le suivi des projets (où en sont les jeunes entrepreneurs ?), renforcer les liens entre eux et les personnes qui les conseillent (les mentors), et fournir des données précises et en temps réel sur leur progression et leur succès. C’est un outil clé pour booster l’entrepreneuriat étudiant.
La plateforme « Elhal » : Un nom qui veut dire « La Solution » en arabe, et qui est bien choisi ! Cette plateforme donne accès à toutes les ressources scientifiques (thèses, mémoires, publications, etc.) stockées dans les différentes universités algériennes via leurs « dépôts institutionnels » (des sortes de grandes archives numériques, souvent gérées par des logiciels comme DSpace). En rendant ces travaux plus visibles et accessibles, « Elhal » va grandement contribuer à faire connaître la recherche scientifique algérienne et à faciliter le partage de la connaissance.
L’application « my bus_controller » : Toujours dans l’idée d’améliorer les services aux étudiants (« œuvres universitaires », qui couvrent le transport, l’hébergement, la restauration), une nouvelle application voit le jour. Baptisée « my bus_controller », elle vient compléter l’application « mybus » déjà existante et semble conçue pour mieux gérer et contrôler le transport universitaire, assurant ainsi, on l’espère, des déplacements plus fluides et organisés pour les étudiants.
