Etissalat Nigeria est en plein marasme. En effet, la NCC – National Commision Communication- l’équivalent de notre ARPT, vient d’interpeler les créanciers d’Etissalat. La NCC souligne que selon La loi sur la communication de 2003 en son article 38 où il est dit que « l’octroi d’une licence doit être personnel au titulaire de la licence et celle-ci ne doit pas être exploitée en sous licence ou transférée à une partie, à moins que l’approbation écrite préalable de la Commission ait été accordée ».
Les créanciers d’Etissalat, d’une valeur de 1.2 milliards de dollars, sont menés par un consortium de banque et d’un autre côté, pour la NCC il est nécessaire de trouver une solution qui arrange les deux parties parce qu’elle est préoccupée par les implications probables de la prise de contrôle d’Etisalat sur ses abonnés en particulier, et sur l’industrie des télécommunications en général.