Une annonce importante pour l’avenir de la recherche et de l’industrie en Algérie a été faite samedi dernier. Le Ministre Kamel Baddari a confirmé la finalisation de la conception de la première puce électronique algérienne, un succès remarquable des chercheurs du Centre de développement des technologies avancées (CDTA). Cette étape cruciale pose les bases d’une future fabrication locale, soulignant le potentiel et l’expertise de notre ressource humaine dans ce domaine de pointe.

Samedi dernier, le Ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, M. Kamel Baddari, nous a annoncé une excellente nouvelle : l’Algérie vient de franchir une étape majeure dans le monde de l’électronique ! Figurez-vous que nos chercheurs de talent, ceux qui travaillent d’arrache-pied au Centre de développement des technologies avancées (CDTA) à Alger, ont réussi à concevoir la toute première puce électronique « Made in Algeria » ! C’est un véritable exploit.
La puce « Made in Algeria » : Caractéristiques et Avenir
Lors de sa visite au CDTA, le Ministre Baddari a tenu à souligner cette réussite. Il a expliqué que l’engagement pris pour maîtriser la conception de ces composants clés est désormais une réalité. Imaginez, nos chercheurs ont créé une puce minuscule, à peine 1 mm², mais qui utilise une technologie de pointe (65 nm) d’une précision impressionnante. Il a rappelé au passage que l’unité spéciale dédiée à cette conception avait été inaugurée il y a peu, fin décembre dernier, montrant la rapidité de cette avancée.
Et la suite ? La bonne nouvelle, c’est que la fabrication locale de ces puces est déjà prévue. Le Ministre a précisé que le lancement de cette production devrait démarrer dans les deux prochaines années. C’est une perspective passionnante, car maîtriser la conception de ces puces représente une valeur ajoutée considérable pour notre économie nationale. C’est une preuve de notre potentiel, d’autant plus que nous avons la chance d’avoir chez nous des spécialistes très compétents dans ce domaine essentiel.
Profitant de sa visite riche en annonces, le Ministre a également inauguré une nouvelle branche du Centre, baptisée « CDTA Expertise », sans doute pour mieux valoriser et partager le savoir-faire accumulé. Il a aussi pris le temps d’inspecter de près la plateforme où sont développées les technologies de fabrication de précision – le cœur de l’innovation !
Mais ce n’est pas tout ! Deux accords importants ont également été signés durant cette journée. Le premier lie le CDTA à la SATIM (la société qui gère nos transactions bancaires et le paiement électronique). Son objectif est très concret et nous concerne tous : renforcer la sécurité de notre réseau national de e-paiement. Une excellente nouvelle pour la confiance dans les achats et transactions en ligne !
Un Partenariat clé pour la fabrication locale
Le second accord a été conclu entre le CDTA et l’ENIE, entreprise nationale des industries électroniques. L’idée est de mettre en place un partenariat solide : le CDTA apportera son assistance technique et technologique à l’ENIE pour l’aider à améliorer et développer la fabrication locale de composants électroniques cruciaux, et particulièrement les transistors – ces petits éléments fondamentaux qui sont partout dans nos appareils électroniques modernes.

Cette visite et les annonces faites montrent le dynamisme de la recherche algérienne et son ambition de contribuer concrètement au développement technologique et économique du pays. C’est une étape prometteuse pour l’avenir de l’électronique en Algérie !Une annonce importante pour l’avenir de la recherche et de l’industrie en Algérie a été faite samedi dernier. Le Ministre Kamel Baddari a confirmé la finalisation de la conception de la première puce électronique algérienne, un succès remarquable des chercheurs du Centre de développement des technologies avancées (CDTA). Cette étape cruciale pose les bases d’une future fabrication locale, soulignant le potentiel et l’expertise de notre ressource humaine dans ce domaine de pointe.