Les préoccupations techniques et réglementaires sont dominées par des sujets qui ont un impact sur la terre entière et font réagir les pays responsables qui ont mis en relief de nombreux questionnements après l’affaire dite « Snowden ». Edward Joseph Snowden, né le 21 juin 1983 est un informaticien américain, ancien employé de la CIA et de la NSA, en tant qu’employé de divers sous-traitants, dont Dell ou Booz Allen Hamilton, son dernier employeur. En juin 2013, Snowden rend publiques par l’intermédiaire des médias, notamment du Guardian et du Washington Post, des informations classées top-secrètes de la NSA concernant la captation des métadonnées des appels téléphoniques aux États-Unis, ainsi que le système d’écoute sur internet du programme de surveillance PRISM du gouvernement américain. Justifiant ces révélations, il indique que son « seul objectif est de dire au public ce qui est fait en son nom et ce qui est fait contre lui ».Le questionnement qui est entrain de faire son chemin pour l’après Snowden est celui là. Est-ce que la NSA bénéficierait de la complicité de l’industrie IT américaine en développant sur le territoire américain et obtiendrait de précieuses informations sur les failles de sécurité des logiciels avant la publication de correctifs car d’après Bloomberg, de nombreuses firmes informent les agences du renseignement, NSA, CIA et FBI inclus, dès la découverte de failles de sécurité, et ce avant même de les rendre publiques et de publier des correctifs. La question est ce pour protéger ses systèmes ou pour espionner des tiers ? Personne aujourd’hui ne pourra nous répondre, il faudrait, peut être, attendre une cinquantaine d’année pour que les dossiers soit ‘déclassifié’. Ce qui est sur et qui devient un sujet éminemment juridique est l’appartenance des données, celles que tout le monde fourni à Facebook, Twitter et autre. L’autre questionnement a trait au développement de software d’autant plus que le monde va vers le M2M et l’Embedded.