14 janvier 2025

Google à Alger

L’autre géant du software mondial regarde maintenant les pays du Sud. Il a quelques problèmes avec les pays du Nord, qui lui demandent de payer « pour lire ». Crise oblige. Et lui ne veut pas payer. Ce n’est pas le marteau contre l’enclume mais c’est le contenu contre l’algorithme. Nous, on regarde et on applaudira le vainqueur. Et dans l’un des peu nombreux entretiens, Larry Page a répondu à la question sur la création de moteurs de recherches que « cela a fonctionné uniquement parce que le Net était ouvert ». « Une fois que vous avez trop de règles, toute innovation est étouffée. » En à peine moins d’une quinzaine d’années, fondée, hier, en 1998, la valorisation de Google dépasse tout entendement mais pas seulement. Il travaille. Il crée. Il rassemble. Il innove. Il met en place des plateformes : Android, Google+, Maps? La société d’indexation de sites web est devenue un mastodonte qui compte dans le monde du Search. Et pas uniquement puisque qu’il est passé allégrement au mobile grâce à Android mais aussi touche le ciel grâce à Maps, qui a valu au iPhone 5 de nombreuses critiques car Apple n’a pas voulu mettre Maps mais l’un de ses logiciels équivalents qui n’était surement pas encore abouti. Sans oublier les livres et la reconnaissance des photos. Le touche-à-tout Google, avec la voiture auto-pilotée, les lunettes vidéo connectés, vous piste tout le temps et vous dit tout doucement « laissez-nous accéder à tout » et comme l’avait écrit Chris Matyszczyk sur le portail du CENT : « Peu importe de quoi il s’agit, de livres, de rues, de maisons, de comptes Facebook, de collections iPhoto ou des restes de vos spaghetti bolognaises. » Je dirais couscous pour nous et bienvenue à Google.

Une réflexion sur « Google à Alger »

  1. il n’est le seul chez nous qui………………
    puisqu’on ne produit rien laisson les venir on n’est encore « vierg »…………………………

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