Perplexes, les accrocs et les habitués d’Internet ignorent pour combien de temps encore les espaces du Net resteront fermés. Pour leur part, certains gérants « survivants » se plaignent des conditions contraignantes requises pour ceux qui veulent ouvrir de nouveaux espaces.
Les habitants du boulevard principal de la ville de Baraki, dans la banlieue est d’Alger, se sentent très concernés et quelques-uns, dépités, expriment leur émotion de voir le plus vieil cybercafé de la ville fermer ses portes. Il avait ouvert en 2000. « Ça fait vraiment mal au cœur de n’y pas voir Toufik, ingénieur, ce pionnier qui a eu l’honneur et le courage d’ouvrir le premier cyber dans notre ville », s’exprime un vendeur au kiosque d’en face. Pas loin de cet espace, un autre cybercafé a récemment baisser le rideau suite à une décision administrative. Un même sort sera ensuite réservé aux 3 autres espaces Internet, situés dans des sites urbanisés et d’anciens quartiers. Le prétexte avancé par l’administration est que « ces espaces ne répondent pas aux critères de sécurité, tout comme plusieurs autres espaces dits de service public, tels les pizzerias, les pâtisseries et les fast-foods », souligne une source administrative, qui précise également que certains de ces endroits sont improvisés ou situés dans des constructions réalisées sans plan architectural. Décisions appliquées, 5 cybers fermés, beaucoup chôment. « Etant parmi les premières promotions de l’Institut national d’informatique et le premier à ouvrir un cyber à Baraki, je me retrouve au chômage en plus des 3 personnes que je faisais travailler après des années de prestations et de meilleurs services au public », relate tristement Toufik, loin de son local, qui est maintenant exploité par un pharmacien. Pour sa part, un autre gréant de cyber situé dans l’ancien centre-ville, Kamel s’interroge : « Pourquoi on ne nous a pas vérifié ces critères bien avant ? C’est désolant de perdre des clients et une source de vie ! » Pis, les usagers, parmi lesquels de nombreux étudiants, des fonctionnaires et des journalistes, cherchent et peinent pendant des heures à trouver un petit espace près de la cité urbaine des « 2004 logements » ou près du marché couvert. Pour Merzak ; employé dans un espace méconnu, qui se trouve pourtant à quelques encablures du jardin public, « il est inconcevable que pour ouvrir un cyber, il faut courir des mois derrière un document ! », faisant allusion à un formulaire portant sur la conformité urbanistique qu’exige le Centre national du registre du commerce. Pour un responsable de cet organisme, « il n’y a pas à se plaindre quand il s’agit de la réglementation à mettre en vigueur ». En attendant, certains propriétaires de cybers espèrent recevoir une réponse aux recours déposés auprès des instances concernées.
الحقيقة ان سبب غلق هذه المحلات التجارية المتمثلة في السيبر كاف هي انها تحولت الى اماكن لممارسة الرذيلة واللقاءات الحميمية بتشجيع من القائمين عليها مثل الس خونا…..توفيق …الكذاب الذي يدعي المسكنة والحقرة من طرف الدولة والحقيقة المرة انه كان لديه غرفة سرية داخل المحل التجاري ولديه زبائن خاصين ……يدفعون لقاء الدخول الى الغرفة السرية مع صديقاتهم للبوس والتحكك والزنى والعياذ بالله …في الاخير ماعساني ان اقول الا ربي يهدينا امين.
عندك الحق خونا انا ثان نسكن في براقي وسمعت بغلق عدة محلات للسيبر كاف كانوا دايرينهم ميزون درونديفوا ……يتلاقاو فيهم للنيك والبوس واللحس …..كانوا دايرينهم ديكيات للرذيلة علما ان احد هذه السيبرات الواقع بحوش الميهوب اين تم هتك عرض فتاة قاصر والقصة معلرفة طبعا بتواطؤا صاحب المحل العطاي المدعوا موح الله اعلم ان كان اسمه ام اسما مستعارا.
والسي التوفيق نفس الشيء القعدة في البيت السري او الغرفة السرية انتاعوا بمبلغ يصل الى 1000دج للزبائن اللي كان يسميهم كليون سبيسيال؟؟؟؟.
كيما قال المثل الي يقطع شجرة يكرها والدولة عمرها ماتظلم احد وكل شيء بالدليل قبل ماتحكم على حاجة لازم تستفسر ري يهدينا ليكيب.
ملاحظة : لقد تعمدت الكتابة باللغة العلابية حتى يفهم الجميع وشكراااااااااااااااااااااااااااااااا بزاف بزاف على القراءة.