Excepté les institutions dites de souveraineté ; quelques milliers de sites algériens, spécialement d’entreprises, disposent d’un site Web dont la terminaison est « .dz ». Et depuis le printemps dernier, il faut compter également avec le « ». Pour rappel, c ‘est le Network Internet Center (NICdz – branche du Cerist), en sa qualité de « registrar » officiel du « .dz », qui en a déposé la candidature de l’Algérie auprès de l’ICANN pour bénéficier de l’IDN ccTLD « ». Ce dernier obéit aux mêmes critères d’obtention que le « .dz » et est, bien évidemment, gratuit. Les deux extensions connaîtront une vaste opération de promotion qui sera lancée incessamment par le Cerist qui réunira tous les « registrar » accrédités dans un but d’explication et de sensibilisation sur le « .dz » et le « ». D’ailleurs, Mme El-Mouahab, directrice de la division réseaux au Cerist, revient sur l’importance accordée à ces deux noms de domaine et parle d’un lancement imminent d’une campagne de promotion visant ceux-ci. « Nous lancerons une campagne pour promouvoir aussi bien le ‘’.dz’’ que le ‘’ ’’ », affirme Mme El-Mouahab, en insistant sur l’imminence de l’opération, qui pourrait intervenir « avant la fin du mois de novembre ». Dans un autre volet, questionnée sur le nouveau système de nommage validé dernièrement par l’ICANN afin de savoir si déjà des manifestations d’intérêt ont été affichées, la directrice de la division réseaux au Cerist nous répond que les institutions ou les entreprises « sont libres de demander une nouvelle extension si elles le jugent opportun » dans la mesure où s’agissant de cette catégorie de nommage, « les gestionnaires sont en relation directe avec l’ICANN » pour cette opérations. Organisations, institutions, villes, pays, entreprises… peuvent acheter un nom de domaine de premier niveau avec une terminaison « .xyz » auprès de l’ICANN. Nous y reviendrons avec de plus amples détails.