ePay.dz est un service de paiement en ligne qui permet de payer des achats, de recevoir des paiements, mais ne permet pas d’envoyer et de recevoir de l’argent. Pour bénéficier de ces services, une personne doit transmettre diverses coordonnées à ePay.dz telles que son e-mail et son numéro de téléphone mobile. Par la suite, les transactions sont effectuées sans avoir à communiquer de coordonnées financières, une adresse de courrier électronique et un mot de passe étant suffisants. Il n’est pas nécessaire d’alimenter son compte ePay.dz à l’avance. La source d’approvisionnement qui existe aujourd’hui pour ePay est le versement dans une des deux banques partenaire d’ePay. Il est automatiquement débité au moment de la transaction. Les destinataires sont avertis par e-mail ou SMS selon le choix dès que vous leur envoyez de l’argent. De plus, l’installation d’ePay.dz est gratuite et, contrairement à la majorité des solutions de paiement proposées par les banques, elle se passe sur Internet. ePay.dz se rémunère exclusivement en prélevant une commission sur chaque transaction, qui peut aller de 3 à 5%.
Aujourd’hui, « tout petit », Mohamed Hamza parle de « près de 800 inscrits » mais ePay.dz a pour vocation de s’agrandir et d’agrandir sa base clientèle et produits à vendre. A terme, ePay.dz sera certainement utilisé par des sites de commerce électronique, pour la vente de biens comme des objets électroniques ou de l’électroménager, de services comme des voyages ou de la conception de sites, ainsi que pour la vente de contenu numérique. Le service de ePay qui permet aux utilisateurs d’effectuer des paiements gratuitement peut être utilisé à partir d’ordinateurs ou de mobiles à accès Internet.
IT MAG : Qui est derrière ePay.dz ?
Mohamed Hamza: Je suis Mohamed Hamza, informaticien de formation, je travaille depuis 2001 dans la conception et l’hébergement de sites Web et chaque fois, revenait avec acuité le même problème, celui du paiement. On vendant sur Internet ais on devait se faire payer par virement CCP ; ce qui nous portait préjudice au vu du temps que prenait ce genre d’opérations. Les derniers temps; j’ai mis de côté cette activité, et je me suis engagé dans un poste de travail stable dans une entreprise en tant que cadre commercial.
C’est à partir de ce moment là où j’ai commencé à développer l’application, le site Web mais aussi à consulter l’aspect juridique y afférent. Je considérais déjà ce projet, sur lequel je travaille depuis 2003, comme un projet d’avenir. A ce moment-là, CashU se faisait connaître non sans handicap car le désavantage de cette alternative était les « commissions » énormes prélevées sur les paiements. Déjà que le prix auquel ces cartes étaient vendues était assez élevé en lui-même. En revanche, d’autres solutions existantes, notamment AltertPay, PayPal, prenaient de petites commissions, ce qui contentait tout le monde. C’est en m’inspirant de ce même principe que la chose a évolué en une étude de marché complète sur ce qui existe de par le monde en termes de solutions de paiements en ligne.
Juste « ce qui existe de par le monde » ; et en Algérie ?
Je sais que ces mêmes entreprises que j’ai citées ont tenté de vendre leurs services en Algérie sans le pouvoir car elle se sont heurté à une question cruciale : quels sont les textes de loi qui autorisent ce genre d’activité ? Il n’est pas concevable de monter une entreprise sans connaître le fondement juridique autour duquel se construit et s’organise la relation commerciale entre l’entreprise et ses vis-à-vis. L’aspect technique de cette activité n’est pas difficile; mais l’aspect juridique, lui, il l’est. D’ailleurs, c’est ce dernier aspect qui m’a pris le plus de temps avant de pouvoir lancer mon projet.
Quel a été le fruit de vos recherches sur l’aspect juridique ?
Le résultat de mes recherches fait ressortir qu’il existe de lois qui vous permettent de travailler, et pour ce qui est du domaine de l’e-commerce, certes il n’est pas réglementé mais il n’est pas interdit non plus. Il faut savoir aussi que lorsque je me suis adressé aux autorités compétentes, le ministère des TIC dans mon cas, afin de leur présenter et de leur expliquer mon projet, elles ne m’ont pas dissuadé ni même dit d’arrêter car c’était interdit.
Comment l’idée de projet a évolué pour se transformer en entreprise ?
J’ai présenté mon projet une première fois au MPTIC en 2006 et à ce moment-là, j’avoue que le feedback n’était pas ce que j’avais espéré. Il faut savoir aussi que moi-même je n’avais pas toutes les cartes en mains; mon projet n’était pas très clair, les moyens financiers pour le lancer n’étaient pas réunis. Ce n’est qu’en janvier 2011 que j’ai pu monter mon entreprise. De plus, j’ai eu l’opportunité de pouvoir ouvrir prochainement un bureau au Cyberparc de Sidi Abdellah pour développer ce qui reste. C’est très intéressant pour moi dans la mesure où l’Etat soutient les entreprises qui s’installent au Cyberparc, notamment à travers des prix de location compétitifs.
Vous avez tout fait par vous-mêmes ?
Oui, j’ai réalisé moi-même la totalité de la plate-forme. Pour la partie contenu, je me suis fait et continue à me faire aider. Mais elle est appelée à évoluer et à s’adapter à ses utilisateurs, à leur façon de se comporter. En tout cas, le système est opérationnel dans sa totalité.
Tout compte fait, qu’est-ce qu’ePay.dz ?
ePay.dz est un outil qui facilite la vie tout simplement. Il permet aux gens d’acheter, de payer et d’être payés sur Internet. La loi algérienne n’interdit à personne de vendre ni d’acheter. Un outil qui reste en développement où probablement il arrivera un jour où vous pourrez payer un commerçant à travers notre outil. Mais pour le moment, ePay.dz est une solution à une problématique. Ce n’est qu’une partie de l’e-commerce. Les gens vendent déjà à travers Internet mais quand il s’agit de se faire payer ou de récupérer sa marchandise, ils sont obligés de se rencontrer.
Quel en est le procédé ?
ePay.dz passe des conventions avec des vendeurs qui nous autorisent à nous faire payer pour leur compte. Le principe est similaire à celui de PayPal. L’acheteur va sur Internet, consulte les produits qui l’intéressent, il aura préalablement prépayé un montant sur nos comptes, puis il pourra acheter à partir des magasins conventionnés avec ePay.dz. Légalement, c’est comme si nous avions été mandatés pour vendre à la place du magasin. Nous ne sommes pas une banque. L’argent avec lequel vous alimentez votre compte sur ePay.dz ne vous servira qu’à acheter dans les magasins conventionnés avec nous. Somme que vous pouvez récupérer à n’importe quel moment.
Mais comment se fait la transaction ?
Les solutions existent et consistent simplement à effectuer un virement bancaire à l’ordre de nos comptes bancaires. En fait, l’utilisateur approvisionne les comptes d’ePay.dz mais dispose de son argent pour acheter les produits du vendeur conventionné. Pour sa part, le vendeur, une fois qu’il aura notre autorisation pour vendre sur notre site, pourra le faire et chaque fois qu’un montant est accrédité pour l’achat de son produit, nous le lui transférons et à charge pour ce dernier de livrer le produit payé. L’acheteur peut même appliquer ce qu’on appelle le principe du tiers de confiance qui lui permet de ne payer qu’une fois livré. Ce service est toutefois payant. Globalement, sur la transaction, nous recevons, de la part du vendeur, un pourcentage de la vente effectuée à partir de notre outil.
Le vendeur doit-il avoir lui-même son site Internet ?
Oui il est préférable pour le vendeur d’avoir son propre site mais ce n’est pas nécessaire. Il peut parfaitement afficher ses produits sur ePay.dz. S’il avait un site, au titre de la convention, nous mettons à sa disposition un « bouton acheter » mais dans ce cas-là, nous lui demandons de nous donner tous les détails sur le produit en question.
ePay.dz est-il totalement sécurisé et sans risques pour l’utilisateur ?
La première sécurité, c’est l’individu lui-même. Il faut qu’il soit vigilant. Il existe chez nous des normes ou des mesures de sécurité que nous utilisons et parmi celles-ci, c’est que la personne qui s’enregistre sur notre outil, nous devons la connaître ; à commencer par les informations basiques qu’elle nous donne qui doivent impérativement être vraies et précises, comme l’adresse e-mail, dont nous vérifions la validité, ou encore le numéro de téléphone, et aussi bien les comptes particuliers que les comptes entreprises, ils passent par les mêmes procédures, à la différence que le commerçant doit justifier d’un registre de commerce valide et compatible avec les produits qu’il veut vendre sur ePay.dz. Chaque fois qu’un compte ne remplit pas les conditions que j’ai citées est temporairement bloqué jusqu’à ce qu’on vérifie si effectivement les données écrites sont correctes. Des vérifications que notre back-office fait d’ailleurs manuellement. Mais tant qu’un utilisateur est enregistré chez nous, il viendra un moment ou un autre où nous vérifions de nouveau ses informations, quitte à lui demander plus de précisions ou de justifier l’exactitude de son profil. Et pour chaque compte commercial, s’il est en conformité, nous lui rajoutons un label « vérifié », s’il ne l’est pas encore, nous lui mettons alors une étiquette « non vérifiée ». De plus et surtout, chaque enregistrement se fait sur la base de l’acceptation des conditions d’utilisation générale, mûrement réfléchies et adaptées au contexte algérien. Pour ce qui est du volet technique, nos servers dédiés sont sécurisés, avec cryptage de données et nous sommes sur du SSL à 128 bits.
Il y a d’autres mesures de sécurité qui font qu’en plus de votre mot de passe, nous vous rajoutons un code PIN que nous vous envoyons dans votre boîte e-mails afin de valider la décision d’achat. De plus, nous avons introduit une politique de répudiation qui bloque le compte utilisateur après deux tentatives infructueuses de connexion. Compte qui ne sera rouvert qu’après vérification. C’est aussi très efficace dans la mesure où le système, s’il enregistre deux ou trois tentatives de connexion dont l’espace de temps entre chacune se compte en mili-seconde, bloque le compte ; en considérant qu’il s’agit d’un « bot » et non d’une personne physique. Même les liens URL ne sont pas autorisées; d’ailleurs nous n’envoyons jamais de liens cliquables pour nos utilisateurs.
Comment ePay.dz justifie-t-elle légalement son existence ?
J’y ai longuement réfléchi. Pour notre part, nous sommes bien des commissionnaires. C’est-à-dire que notre chiffre d’affaires n’est pas le montant vendu mais le montant engrangé par les commissions. Nous payons notre TVA, notre TAP, etc., sur la commission. Nous éditons par conséquent une facture sur la commission seulement. L’activité de commissionnaire est clairement réglementée et identifiée dans nos lois.
je ne sais pas comment une seule personne a programmer toute une plateforme de paiement électronique paypal et alertpay a investi des grande équipes pour y arriver en fait bonne chance et bonne réussite
et pour information il a un autre algérien qui développe un tel concept
epay est une solution apparemment efficace , je suis en pour parler avec l administrateur de ce site
pour l engendrer dans notre solution ecommerce http://www.elbibane.com
Bonjour,
hummm et si l’on jetais un oeil sur https://www.entropay.com/
pour comparer ? ça vous dit ?
Salutations amicales
waw c est la méme version mais en arabe voila c est ce qui nous rends toujours les derniers on peut jamais créer notre propre programme
c’est vraiment dommage
En anglais. 😉
Comme on dit chez nous, c’est du plagiat « 3inani » 😉
Apres paypal et alertpay il y a http://www.nobanco.com qui se lance en france.
A essayer ce site en phase beta pour le moment.
tt a fé sofiane je crois qu’il existe un autre concept 1000 fois plus facile et accessible a tt le monde en algerie ..mais c’est une armada de jeune ingénieur innovateur k’il a conçu…je vois pas comment une seul personne peut sécurisé et concevoir un tel système d’échange monétaire
Il a acheter le script http://www.alstrasoft.com/epay_enterprise.htm surement
Pouvez vous me donner le site de cette personne 🙂
Merci du lien, c’est très instructif 😉
Le site du monsieur dont parle l’article est : http://www.epay.dz
Looool, le site du mec ressemble comme deux goute d’eau ( a quelques couleurs prés) au site entropay.com
Aprés quelques recherches sur le net le script que MR HAMZA a utilisé est largement disponible sur le net (et meme dispo en téléchargement gratuit dans certains site de partage cherchez sur google : epay entreprise nulled et vous verrez !!!).
Et il ose dire que c’est lui qui à tout fait???!!! QUEL GROS MENSONGE, s’il ment sur ça…je n’ose pas imaginer les arnaques qu’ils pourraient faire!!!
voila la montalite purement algérienne … hamza a crée l’idée et il a travaille pour elle et finalement le grand mr REDA il a dit que c’est i’importe quoi . je suis sure que ce reda la ne connait même ouvrir un compte facebook .. mais quand les gens travaillions il vient de dire sa … moi personnellement de dit bon courage a mr HAMZA et pour le grand reda je pence qu’il a besoin d’étudier plus pour avoir une bonne vision de ces choses
j aimerais bien voir les vrais créations des algériens c est a dire leur propres idées
non copier coller
Bjr amena en attend que ne proposé votre idées
Mort de Rire n’importe Quoi, nos medias arrive pas a suivre l’evolution de technologie de paiement,
Voir seulement nos voisins maghrebins pour bien comprendre l’engagement de l’etat dans cette stratégie,
Laab dherari!!
Bonjour
Que la solution ait été copiée ou non, le besoin est là et est pressant.
Le tord que ce manque de moyen de paiement électronique fait au développement économique de l’Algérie est incommensurable.
Il n’est pas nécessaire de réinventer la roue. Si on peut adapter aux spécificités locales des solutions qui ont bien fonctionné ailleurs, pourquoi pas.
C’est ce qui ce fait partout ailleurs. C’est ainsi que le Japon s’est développé après la seconde guerre mondiale, c’est ainsi que la Chine se développe actuellement.
En revanche, il faut effectivement avoir la décence et l’honnêteté intellectuelle de ne pas s’accaparer la paternité.
Ceci dit, ce n’est pas grave en soi. C’est une erreur de jeunesse. Mais l’homme a essayé. Il a réalisé. Il a agit. Qu’avons nous fait nous autres ?
Je viens de faire un tour sur le site.
Le projet n’est pas encore sec. Mohammed a pris le soin d’indiquer que c’est une version Beta.
Quelque soit les raisons qui peuvent créer des polémiques (notre spécialité algérienne), personnellement je soutiens l’initiative.
Malheureusement, le choix d’y aller en solo pourrait faire du projet un mort-né. Ce n’est pas une entreprise qui peut reposer sur les épaules d’une seule personne.
Mohamed, vous devez vous faire aider. Je ne parle pas des ressources humaines techniques, cela il y va de soi.
Je pense que c’est un projet qui nécessite beaucoup de moyens financiers pour supporter tous les processus métiers interne et « behind the scene » qu’un tel service aura à solliciter pour que cela fonctionne.
Vous avez identifié les problèmes juridiques et vous les avez résolus, vous avez trouvé, adapté et amélioré la solution technique. Mais à mon sens, il vous faut des investisseurs pour le véritable développement de ce service.
Personnellement, je suis intéressé de faire le pari.
bonjour,
le site Web reprend les traits d’un autre site Web mais aussi l’organisation d’une autre et quelques textes d’un autre……
le script est un colmatage et adaptation de plusieurs sources.
en Web2.0 c’est une création,
l’idée est original et le besoins existe.
bonne chance
HADJ SAHRAOUI Mohamed
IT Spécialiste
FINANCIAL SYSTEMS DEVELOPMENT SERVICES AG
Suisse
http://www.fidesgroup.org
commentaire commentaire, c’est chose facile, le bon coté des choses ce gars fait parler de lui et il réalise sont projet, inchalah alnadjah.
en plus rien de comparable en algérie, j’ai tester le site et les quels services disponible, cela fonctionne correctement.
bonne chance,
bingo tu es la
ce mec est un escroc
au lieu de critiquer le MONSIEUR Faite quelque chose d’utile !! meme La contrefaçon c pas donner a tout le monde?!
Bravo Mohamed Hamza
Le epaiement c’est pour quand en Algérie. On pourrait s’en servir sur notre site d’annonces immobilières