par {{L’Amérique}} par{ Abderrafiq Khenifsa}
Rien que pour «le vol de l’identité d’un Américain», les sociétés de cartes de crédit ont eu une perte de 49 milliards de dollars en 2006, soit l’équivalent de ce que nous avons engrangé en 2006 en vendant ce que des milliards d’années ont mis à «faire», je veux parler du pétrole. Automatiquement, la machine à importer fonctionne et fonctionne bien car d’après le FCE, l’Algérie a importé pour plus de 21 milliards de dollars.
D’un autre côté, les Algéro-Américains sortent vers le soleil et en deux coups trois mouvements, deux manifestations sont organisées. La première par US Algeria Business Council qui se tiendra en mars aux Etats-Unis avec la présence des grandes compagnies américaines de l’IT.
Et la deuxième par l’IB Scientifique et la Forem qui se tiendra en avril -bien sûr le 16 avril- à Alger. Entre-temps, les Américains sont passés à l’APN -Assemblée populaire nationale- pour des journées d’apprentissage pour la presse et les parlementaires. Résultat, on a parlé du Fonds de la presse mais pas pour la formation. Uniquement des ardoises laissées par des journaux pour les imprimeries étatiques. On efface et on recommence.
Par petites touches successives, les Américains se rapprochent de l’Algérie et ce que l’on voit, c’est que leur cheval de bataille est clair : presse et IT. Et dans ces domaines, ce pays a beaucoup à nous apprendre, beaucoup plus que les Européens, englués dans leur bureaucratie et pensant être «trop proches» de nous. Alors ne faisons pas la fine bouche. Et que 2007 soit une année américaine.
