Pour Sofim Algérie, l’objectif à atteindre au cours de cet exercice est 19% de part de marché pour arriver, à terme, à 25%, particulièrement dans le segment de l’imprimante matricielle, dont les volumes, toutes marques confondues, atteignent jusqu’à 79%, le reste étant partagé par la laser couleur et la jet d’encre. Les offres d’OKI dans ce domaine reposent sur une technologie modulaire de telle sorte à ce que toutes les composantes de l’imprimante ne dépendent que d’un seul bloc, facilitant par là les procédures de maintenance et surtout réduisant les coûts des consommable, notamment lorsqu’il est question de pourvoir au remplacement du toner. Aussi, les imprimantes OKI disposent de grandes capacités à être utilisées en réseau, servies par des applications de gestion et d’administration qui peuvent même prendre en charge des imprimantes d’autres marques afin de maîtriser le parc d’appareils d’impression d’une entreprise. Certains modèles sont même pourvus de disques durs d’une capacité de 40 Go pour mettre en mémoire des dossiers à imprimer ultérieurement ou simplement pour l’enregistrement de mots de passe pour la protection des documents stockés. En matière de logiciels d’impression, OKI propose en complément et gratuitement de ses imprimantes des applications d’administration en réseau, de création d’étiquettes et autres affiches… Une singularité fait que les imprimantes OKI peuvent détecter une impression à partir d’Internet et donc opérer les ajustements nécessaire pour ne pas avoir un document décalé et avec moins de papier. En outre, interrogé sur le marché algérien des imprimantes professionnelles, M. Gérard Bouhanna, directeur marketing d’OKI, affirme que «le marché algérien est mieux structuré si l’on compare avec les voisins maghrébins». Pour M. Aït Rabah, «ce sont déjà 7 000 imprimantes OKI qui sont installées jusqu’à présent et le marché est disposé à en accueillir davantage, surtout que l’on est là à suivre nos clients en permanence pour répondre à tous leurs besoins en assistance».
Bonjour, étant professionnel des arts graphiques, nous avons fait, avec plusieurs collègues, la malheureuse expérience d’acquérir du matériel OKI (C9655HDN). Suite à des problèmes de qualité d’impression, nous avons contacter le service après-vente en France (Hay les roses) et nous sommes tombés sur des techniciens totalement incompétents. Au bout de 5 semaines, l’imprimante, acquise en septembre 2012, n’est toujours pas dépannée, c’est inadmissible, même chose chez un confrère. Donc, nous nous activons sur internet pour diffuser au maximum l’information afin que nos confères fuient la marque OKI et se rabattre sur d’autres marques avec des services après-vente dignes de ce nom.